mercredi 2 septembre 2015

Le linceul

Je n’ai aucune tendance à l’idolâtrie. J’ai du mal à m’émouvoir devant un symbole religieux, même pour une image. Quand je vois une croix, je pense plus à l’esprit des Évangiles qu’elle représente plutôt qu’à la souffrance. Pour moi, le christianisme ne peut pas être le culte de la souffrance mais l’invitation à la dépasser par l’esprit, pour en pénétrer l’esprit ou ce qu’on appelle la parole, écrite ou priée. Je ne prêtais pas particulièrement attention aux reliques des saints. Mais je pense que la rencontre du corps et de l’esprit chez une personne peut conduire aux miracles. Croire que les miracles sont possibles, c’est admettre que la raison humaine ne peut pas tout contrôler. Je crois qu’il est possible de trouver beaucoup de réconfort en reconnaissant que nous ne sommes pas infaillibles.

Mais s’il y a une relique qui vient de me toucher profondément, c’est bien le cas du linceul de Turin. Encore que, jusqu’au mois dernier, je l’avais catalogué parmi les faux du moyen-âge. Comme beaucoup de personnes, j’avais entendu depuis longtemps que la technique de datation au carbone-14 avait définitivement tranché la question de la relique comme une contrefaçon. L’église qui se met à parler scientifiquement ne dit-elle pas « le linceul dont on dit qu’il serait du Christ ? ». Sauf que lorsque la médecine légale interroge les traces de plaies et lésions imprimées sur ce linceul, l’historien Jean-Christian Petitfils reconstitue une double scène de flagellation et de crucifixion inimaginable de cruauté et de férocité humaine. Le moindre des innombrables épanchements de sang, sécrétions de liquide corporel provenant de points parfaitement identifiés du corps humain devient plus réel que jamais. La manière dont le bourreau s’acquitte de sa basse besogne, l’outil même utilisé et identifié dans la panoplie du criminel de l’époque renforce la réalité du martyre. Il y a là un homme qui a souffert d’une manière inimaginable.

Quand on apprend que les traces du fouet sont compatibles en d’innombrables points avec deux autres reliques préservées comme la tunique d’Argenteuil ou le suaire d’Oviedo, toutes portant des traces d’un même groupe sanguin rare, l’hypothèse d’un faux diminue en crédibilité. Quand on vous explique que depuis longtemps on a identifié des traces de pollen de plantes de la région de Judée, qui poussaient dans des régions désertiques de la Judée, que ces pollens proviennent de plantes qui fleurissaient à l’époque de la Pâque juive, que certains de ces pollens proviennent d’un buisson épineux du style de ceux de la sainte couronne conservée à Paris,… et quand l’historien vous dit que les archives de cette époque de calme politique qui entoure la vie du Christ n’ont notifié qu’une seule exécution de trois personnes par crucifixion..., alors je m’estime le droit légitime de reconnaître avec ma raison pleine et entière, au vu des nombreuses preuves scientifiques accumulées, au vu de la faiblesse scientifique des contradictions, au vu d'éventuelles manipulations grossières et douteuses, que le linceul de Turin est bien celui de Jésus-Christ.

Après, ma foi me conduit à m’émouvoir devant la réalité criante d’un visage de souffrance, mais apaisé et du corps supplicié du Christ. Je ne crois pas au hasard de l’histoire qui aurait préservé l’existence de toutes ces reliques au cours de 20 siècles en dépit des incendies, mais bien à une intention délibérée de porter à la connaissance des hommes et femmes du XXème et XXIème siècle, une réalité de leur passé. Mais même en voyant, est ce que vous croirez ? Moi oui, je suis persuadée de la vérité historique de ces reliques et de leur relation au Christ.

Il reste encore à penser l’incroyable. Ce linceul est-il le témoin de la résurrection ? Manifestement, le corps n’a pas pu être déplacé et ni enlevé. L’impression de l’image du corps sur le tissu demeure scientifiquement inexpliquée. Le fait que cette image se révèle en 3-Dimensions sous le traitement de nos ordinateurs contemporains ne me semble pas être non plus fortuit. Cette énigme nous lance un défi, le défi que l’on ne peut pas expliquer une réalité manifeste avec les lois naturelles que nous connaissons. Je ne prétends pas dire que la raison conduit à croire à la résurrection, mais forcément elle doit s’interroger.

La foi est libre d’affirmer, voilà, le linceul de Turin, c’est la résurrection ! Mais le plus grand problème, c’est pour une majorité d’êtres humains, la raison n’est même pas heurtée. Tout simplement leur raison n’est pas intéressée. Elle a bien d’autres centres d’intérêts.

 Après avoir lu le livre sur Jésus de Jean-Christian Petitfils, j’ai consulté des sites web qui corroborent ce que j’ai lu dans le livre de l’historien reconnu.

Emylia


Mes consultations web :

14 commentaires:

  1. Bonjour Emylia,

    J'ai été touchée d'apprendre que vous êtes venue dans le pays d'origine de ma famille cet été: Tréguier:(j'habite un autre département) . Deux personnages illustres y sont nés:. Le grand savant, Ernest Renan, comme vous nous l'avez relaté, et à une tout autre époque, Saint Yves (1250-1303) grand saint, grand juriste aussi , avocat, grand orateur, très secourable envers les pauvres. L'histoire de sa vie est intéressante. Elle a fait l'objet d'un "Que sais-je ?"
    Renan a beaucoup étudié les religions, sémites entre autres. Il était rationaliste, scientiste, comme on pouvait l'être à cette époque. Il ne croyait pas au surnaturel et donc pour lui, Jésus ne pouvait être qu'un homme, très admirable certes, mais seulement homme.

    J'ai bien suivi l'émission ' Secrets d'histoire'. Ce qui m'a frappée surtout c'est la souffrance de Jésus pendant sa Passion , souffrance qui est bien soulignée et que l'on oublierait assez,' âmes habituées' que nous sommes comme disait Péguy. Je suis bien d'accord, le christianisme n'exalte pas la souffrance pour la souffrance. Celle qu'a subie Jésus montre jusqu'où est allé son amour pour chacun de nous sans exception. Accepter d'aimer, même si pour cela il faut souffrir, même beaucoup, nous pouvons le comprendre. L'amour du Christ: sujet de méditation infini...

    J'avais lu ce livre de l'historien J. Ch. Petifils.. Vous m'incitez à le reprendre. J'ai du mal à me concentrer en ce moment. En y mettant le temps nécessaire,.je devrais y arriver.
    J'ai aussi une vénération pour le Suaire, authentique (je crois que oui) ou pas. Quel beau visage !

    Bonne soirée à vous et aux 'passants'.
    Thérèse.

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  2. Bonjour ,

    Je n'ai pas pu encore lire ce qui concerne le linceul de Turin. Merci de nous avoir donné la possibilité d'en savoir plus.

    J'ai toujours eu une vénération pour lui depuis que je le connais. Je me réjouis de savoir qu'il a pu être authentifié. J'avoue que je n'avais pas lu (c'est un tort) cette partie du livre de J-Ch. Petitfils. Au moment de la nouvelle ostentation au printemps dernier à Turin, je ne me souvenais plus dans quel livre je pouvais trouver des réponses. Je le sais maintenant.

    Je ne suis pas très étonnée qu'il ait pu être authentifié car j'avais, comme beaucoup, une sorte de conviction intime que le visage était bien celui du Christ. Quand bien même on me dirait que non, cela me serait presque égal. Pour moi ,la question de la preuve me parait presque accessoire.

    Il représente, au delà du Christ, le visage des hommes souffrants. De tous les hommes -et Dieu sait s'ils sont nombreux ! - accablés mais emplis de dignité , dignité intrinsèque à l'homme que les bourreaux ne soupçonnent pas pas. Le calme de ce visage me montre cette dignité intériorisée, que l'abjection des mauvais traitements n'a pas pu éliminer car elle est au fondement de l'homme. Ce calme me montre que le mal, n'a pas le dernier mot, La sérénité de ce visage après la grande épreuve me parle de la grandeur de l'homme... de l'Homme.
    Jésus aimait se nommer lui-même le fils de l'Homme parce qu'il assumait toute la condition humaine et redonnait à l'homme le sens de sa propre grandeur.

    Je vois dans ce visage l'illustration (au sens noble) de ce que M. Zundel (pardon d'y revenir encore) dit du second Adam: Le Christ est l'homme universel. .Il faudrait citer l'auteur mais quelle phrase choisir ? C'est le thème qui revient toujours dans ses livres.
    C'est ce qu'il évoque quand il parle de l'homme de Byblos je crois, et que pour ma part, je me représente en voyant le Visage du linceul. J'ai été aidée pour comprendre cela par la déclaration en ce sens, de l'auteur - j'oublie hélas son nom -du livre sur le linceul de Turin., entendu sur KTO à l'émission 'un cœur qui écoute' au printemps dernier.
    ( J'ai vu qu'il est question de cet auteur sur les sites web que vous nous donnez.)

    De plus, tant de personnes ont prié devant ce visage qu'il a pris une valeur inestimable, il me semble.Il est le réceptacle de toutes ces prières même si son aspect n'en a pas été changé. Il est devenu une précieuse icône.

    Merci donc et bonne soirée.
    Thérèse.

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  3. Il s'agit de Sébastien Cataldo, auteur des livres sur le linceul que l'on retrouve sur le site www.linceul-turin .com

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  4. Bonjour Thérèse,

    La première vidéo que j'ai écoutée est celle de la conférence de Sébastien Cataldo à Monaco sur cette page:

    http://www.linceul-turin.com/maj-saint-suaire-linceul-turin/medias-video-saint-suaire-linceul-turin/media-video.html

    Ce qui m'a le plus frappée, c'est d'abord les 120 coups de fouets (lanières terminées par des bobines métalliques pour mieux lacérer), laissant les innombrables marques rouges sur le linceul. Comment un être humain peut-il battre à ce point un autre homme ?
    - le fait-il par férocité, fureur, méchanceté ?
    - le fait-il pour obéir aux ordres, en espérant une promotion ?

    Le visage apaisé du Linceul est le visage du pardon inconditionnel. C'est vrai qu'il est beau ce visage serein comme vous le soulignez fort justement.

    Je n'oublie pas que d'innombrables êtres humains, simplement humains, hommes, femmes, enfants subissent en ce moment des sévices, des executions, des meurtres odieux ou crapuleux dans le silence gêné de la communauté internationale. Ils sont repoussés, entassés dans des camps, comme s'ils étaient indignes, responsables de leur propre malheur. Ces gens errent sur nos routes d'Europe.

    C'est vrai qu'il y a des très méchants qu'on ne sait pas contenir et qui ont les mains libres pour commettre les pires exactions. Je ne conteste pas l'attitude de nos hommes politiques, car il n'est jamais facile et evident de traiter, de négocier des vies "avec le diable".

    C'est vrai que le chômage sévit chez nous. Nous n'avons pas de places sociales à distribuer. Mais peut être que les réfugiés
    fuyant la guerre et les persécutions ont leur propres talents à offrir. Leurs talents seraient peut être notre chance pour nous de sortir du marasme économique dans lequel nous nous enterrons.

    Ceci dit, pour revenir au linceul, je remarque la coincidence suivante : "je redécouvre l'existence de ce tissu juste après avoir visité l'atelier d'un tisserand de lin "à Quintin", lieu bien connu en Bretagne pour le tissage du lin. Si j'avais su, j'aurais pu me renseigner plus en détails sur le tissage du lin.
    Cela fait 40 siècles que nous savons tisser du lin. Alors il n'y a pas à douter que le lin était utilisé pour les linceuls à l'époque du Christ.

    Bonne soirée.

    Emylia

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  5. Bonsoir Emylia,

    C'est vrai que la culture du lin a été importante en Bretagne. Elle revient un peu. Il servait notamment aux voiles de bateau et a été pour beaucoup dans la prospérité de la région autrefois.. Prospérité qui a permis l'édification des enclos paroissiaux dans le Finistère, ces ensembles sculptés dans le granit autour de certaines églises et qui représentent la Passion du Christ notamment.
    ..Je n'avais jamais pensé aux linceuls fabriqués en lin.

    Vous avez raison de souligner que le visage du linceul montre aussi le pardon inconditionnel.
    En évoquant les souffrances des hommes, je pensais , comme vous, à tous ces réfugiés persécutés chez eux et si mal accueillis en Europe... quand ils ne sont pas cruellement rejetés.

    Oui, comment les hommes peuvent-ils être si cruels ? Comment le Christ a- il pu pardonner si vite : "Père pardonne leur..."?
    Les bourreaux ne soupçonnent pas la dignité intrinsèque de leurs victimes, disais-je cet après-midi. Malheureusement, ils ne soupçonnent pas non plus leur propre dignité en tant qu'être humain, sinon par respect d'eux-mêmes, ils ne s'abaisseraient pas à de telles actions abjectes. L'indifférence et la xénophobie ressenties dans nos pays ont la même origine, il me semble: l'ignorance de notre grandeur d'enfants de Dieu, créés à sa ressemblance, et qui fait de nous des frères.

    C'est ce que n'oublie jamais le Christ. Il continue de voir en chacun, même le méchant, sa dignité d'enfant de Dieu et voit encore en lui ce qui lui reste de bon.

    L'attitude de nos hommes politiques dépend beaucoup de l'attitude de l'opinion publique. Nous avons les gouvernements que nous méritons parait-il. A nous donc d'exprimer notre volonté de recevoir notre part de la misère du monde et de ne pas nous dérober à ce devoir de solidarité envers des personnes qui ont déjà tellement souffert !
    On sent un certain "réveil",. du moins je l'espère.
    Personnellement, je me sens maintenant toute petite et démunie pour être utile, hélas. Comment y remédier ?C'est la question que je me pose.

    Bien amicalement.
    Thérèse.

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  6. Vous avez entièrement raison sur la dignité et la grandeur des victimes, des personnes qui sont en souffrance et
    du déni de l'humanité en soi chez les indifférents ou les méchants.

    Si Jean-Christian Petitfils dit vrai au sujet de Ponce Pilate, ce dernier n'est pas un personnage secondaire, qui ne serait pas trop coupable comme le laissent entendre les évangélistes. Mais ils ne pouvaient pas savoir qui était vraiment Ponce Pilate.
    Si le portrait que nous en brosse l'historien, après une étude historique approfondie sur le personnage,
    ce procurateur romain ressemble en tempérament à certains de nos hommes politiques ambitieux, parfois cruels (ils ne le sont pas tous). Lui il savait parfaitement qu'il condamnait injustement un innocent. Mais il était pris dans une surenchère de cynisme, d'arrogance et de compétition pour le pouvoir avec le grand prêtre du temple, et de mépris pour la Vie.
    Un vrai profil désopilant de banalité (la banalité du mal) qui ne connait pas l'examen de conscience.


    Bonne soirée.

    Emylia

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  7. Bonsoir,

    Un petit mot pour signaler que l'émission ' Concordance des temps' de ce matin, 5 septembre 10h, sur France Culture parlait de Ernest Renan. Je ne l'ai pas encore écoutée mais on peut le faire sur le site de France- Culture (Histoire); Cette émission est toujours de très bonne qualité.
    Bonne nuit.
    Thérèse.

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  8. Merci bien Thérèse de me la signaler.
    Je l'écoute parfois, mais pas cette fois-ci.
    Bon dimanche à vous.

    Emylia

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  9. Bonjour Emylia,

    J'ai écouté l'émission 'Concordance des temps' présentant E. Renan la semaine dernière.

    Je crois pouvoir dire qu'il a eu le mérite, au XIXe siècle, de faire ce qu'on appellerait de nos jours une lecture historico-critique de la Bible. Cela ne se faisait guère à l'époque où la façon autorisée de lire la Bible serait sans doute qualifiée aujourd'hui de fondamentaliste.

    Cette distance prise par Renan pour lire la Bible avait été jugée, de son temps, comme iconoclaste, ou même par certains comme sacrilège. C'est pourtant la méthode utilisée maintenant par les biblistes,les chercheurs -dont de nombreux religieux- par exemple ceux de l'école biblique de Jérusalem qui ont traduit et publié la fameuse "Bible de Jérusalem" .Ils poursuivent leurs travaux de cette manière scientifique, par des fouilles archéologiques et autres travaux utilisant les moyens modernes d'investigation.

    Ce que l'on peut regretter à propos de Renan, c'est qu'il ait poussé cette attitude à ses extrêmes et que sa foi se soit éteinte de ce fait.
    Le monde des sciences était traversé alors par le fort courant positiviste, courant qui faisait triompher le rationalisme et le scientisme. Les hommes de science n'avaient pas encore été obligés d'apprendre la modestie. L'idée de progrès sans entrave , grâce à la science , régnait et ce qui n'allait pas complètement dans ce sens passait vite pour de l'obscurantisme..

    C'est ce qui a pu sans doute expliquer cette position tellement radicale. Elle a fait quitter la foi à une personne d'une grande honnêteté intellectuelle comme Renan, malgré la grande estime qu'il disait avoir pour les prêtres éducateurs de sa jeunesse et l'importance de l'influence que la foi, pourtant perdue, avait gardée pour le reste de sa vie ultérieure.
    Là n'était peut-être pas la seule raison, mais elle semble avoir eu une réelle importance dans le rejet du christianisme par Renan.

    Voilà les réflexions qui m'ont traversée à l'écoute de cette émission.
    Thérèse.

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    1. Bonjour Thérèse,

      Oui il y a d'un côté le rationalisme-scientisme qui est une idéologie et d'autre part une religion dévoyée dans l'hypocrisie et le moralisme.
      Je suis en train de lire Pierre Hadot. Il a été formé au séminaire.

      Il était croyant, il a été ordonné prêtre mais il ne se sentait pas à l'aise dans l'église.
      Je en retrouve pas la phrase édifiante sur l'église dans son livre alors j'en cite une autre:

      Lorsque les prêtres parlaient de Dieu ou de la mort, réalités écrasantes ou terrifiantes, ils débitaient des phrases toutes faites, qui me paraissaient conventionnelles et artificielles.
      Ce qu'il y avait de plus essentiel pour nous ne pouvait s'exprimer.

      Merci pour l'emission. Je n'ai pas encore eu le temps de l'écouter.

      Emylia

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  10. J'aimerais signaler un livre éclairant au sujet de la Bible:
    "La Bible dit-elle vrai ?" de François Brossier. Les éditions de l'atelier. (Les éditions ouvrières)

    Extrait de la présentation en 4ème de couverture:
    [....F. Brossier démystifie le sens du mot histoire et montre comment la Bible n'est pas une énumération d'actes fondés sur des éléments historiques, mais une interprétation des événements avec une vision croyante qui laisse place à la révélation de Dieu. ...

    ....Qu'est ce qui permet de de dire qu'elle est inspirée par Dieu ? ....etc...]

    Thérèse.

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    1. Exactement ! C'est ce que j'ai découvert cet été en lisant un autre auteur dont je vais vous parler.
      Ce serait intéressant de voir si nos informations se recoupent.

      Par contre l'auteur que j'ai lu ne traite pas de "...Qu'est ce qui permet de de dire qu'elle est inspirée par Dieu ? "

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  11. il est difficile pour moi de me concentrer car des conversations surgissent autour de la pièce où je croyais pouvoir être au calme, je n'ai donc pas pu écrire entièrement ce que je voulais. J'espère que vous allez bien et je vous souhaite une bonne soirée.
    Th.

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    Réponses
    1. Merci Thérèse,

      Je vais reprendre très bientôt mes rédactions. Je partage mon temps libre entre lecture, écriture mais aussi beaucoup de musique, pratique de l'instrument et étude de la musique elle même comme moyen d'expression (alternatif à l'écriture).
      Mais pour moi, la musique jouée, composée est une aventure spirituelle.

      Bonne soirée.

      Emylia

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